introduction
les Contemplations, préface de Pierre Albouy
[...] La poésie, chez Hugo, est une sorte de traversée de l'être. Et elle n'a pas de terme; elle ne s'arrête ni ne conclut (et, par là, elle détruit, pour finir, toute idéologie); elle disparaît. Ce mouvement - forcené - est parfois triomphal, comme dans...